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El cartapacio del alecrán

¡Que les corten la cabeza! Los libros de texto gratuitos en México / María Esther Pérez Feria / Off with their heads! The free textbooks in Mexico

¡Que les corten la cabeza! Los libros de texto gratuitos en México / María Esther Pérez Feria /  Off with their heads! The free textbooks in Mexico

             Una revisión exhaustiva de los Libros de Texto Gratuito fue encargada a la Academia Mexicana de la Lengua, con la intervención de escritores, como el presidente de este órgano, Jaime Labastida, Adolfo Castañón e Ignacio Padilla; investigadores, como Patrick Johansson y Concepción Company y divulgadores de la ciencia, como Ruy Pérez Tamayo y Julieta Fierro, entre otros. El examen de los 86 libros que se elaboraron en la Secretaría de Educación Pública, durante el sexenio de Felipe Calderón dio como resultado un “panorama de desastre”, a decir del poeta Jaime Labastida, presidente del órgano encargado de la valoración, ya que los libros de texto no sólo contienen errores ortográficos sino de contenido (los cuales, por cierto, no se mencionan en las notas periodísticas que dan cuenta de la presentación de los resultados de la revisión) y desatinos pedagógicos, como poner el acento “en el saber, pero no en la indagación. Son libros que enfatizan la respuesta pero no la pregunta”. Entonces: "¡Que les corten la cabeza!"

            Es un desatino, por supuesto, sin embargo, cabe preguntarse: ¿acaso las decapitaciones políticas o expiatorias ayudarán a resolver el asunto educativo actual? ¿No es resultado de políticas erráticas en materia de educación en nuestro país? Si bien, los libros de texto gratuito son una expresión pública y materializada de las interpretaciones muchas veces caprichosas y subjetivas que se hacen de los planes y programas, así como de los enfoques pedagógicos (que suelen ser interesantes y hasta vanguardistas en su planteamiento teórico, véase para Español, la propuesta de “prácticas sociales de la lengua”), a cualquiera le queda claro que los libros de texto tienen deben estar acompañados de una estrategia educativa de largo aliento, más allá del paisaje desolador de la educación en México recién descubierto por la Academia Mexicana de la Lengua.

            Habría que conocer lo resultados completos de su revisión para saber si ese respetable grupo de intelectuales tomó en cuenta, en su dictamen de los libros de texto gratuitos, el árbol completo que incluye la idea de que los aprendizajes son procesos en los que interactúan los alumnos con el maestro y los alumnos con otros alumnos; que esos procesos incluyen prácticas situadas en contextos diversos y en aulas y bibliotecas dentro de las escuelas, con libros de literatura tanto como de consulta, informativos, de divulgación de las ciencias, entre  muchos más. Además, es importante aliviar la situación de pobreza en al que vive la mayoría de los niños de nuestro país, el desempleo o la migración de muchos padres y madres de los alumnos, la escasa infraestructura en los planteles, y distinguir la corrupción sindical de las cúpulas magisteriales del maestro de todos los días, que son la gran mayoría y construyen la educación de los niños mexicanos en condiciones que llegan a ser imposibles. Eso implicaría revisar las políticas educativas y líneas a que son sometidos los países llamados "en desarrollo por organismos como la OCDE y el Banco Mundial.

            Ojalá las mentes brillantes de los escritores, investigadores y divulgadores de la ciencia pudieran ser convocadas para hacer propuestas con los docentes, de políticas educativas integrales, destinadas a la formación de sujetos capaces de participar en la cultura escrita, en la cultura política y ambiental, así como de encontrar en la educación una forma de elevar su calidad de vida, en todas sus dimensiones.

            Es insuficiente y poco abarcador que, ante los resultados del examen a los libros de texto gratuitos, frente al panorama de desastre educativo reconocido la solución se restrinja a hacer nuevos libros. Las medidas deben ser de gran calado e involucrar a la las instituciones especializadas, pero también a los maestros.

 

Un examen complet des textes des livres gratuits a été confiée à l'Académie mexicaine de la langue, l'intervention d'écrivains, comme le président de cet organe, Jaime Labastida, Adolfo Castanon et Ignacio Padilla; des chercheurs tels que Patrick Johansson et Concepción Société et vulgarisateurs de la science, comme Ruy Pérez Tamayo y Julieta Fierro, entre autres. L'examen des 86 livres qui ont été développés au sein du ministère de l'Éducation, sous la présidence de Felipe Calderon a donné lieu à un «scénario catastrophe», de dire le poète Jaime Labastida, président de l'organisme responsable de l'évaluation, manuels non seulement le contenu, mais contenir des erreurs d'orthographe (qui, incidemment, ne sont pas mentionnés dans les reportages qui reflètent la présentation des résultats de l'examen) et maladresses pédagogiques comme au stress "dans le savoir mais pas à l'enquête. Ce sont des livres qui mettent l'accent sur la réponse, mais pas la question ". Puis: "Qu'on leur coupe la tête!"

            Il est absurde, bien sûr, mais on se demande: si la politique ou les décapitations sacrificielles aider à résoudre la question actuelle de l'éducation? N'est-ce pas le résultat de politiques erratiques dans l'éducation dans notre pays? Alors que les livres de texte libre sont publiques et matérialisées expression souvent capricieuses interprétations subjectives et faites des plans et des programmes, ainsi que des approches pédagogiques (souvent intéressants et même d'avant-garde dans son approche théorique, voir pour l'espagnol, le projet de «pratiques sociales de la langue"), il est clair pour tout le monde que les manuels ont doivent être accompagnés par un long soupir de stratégie éducative, au-delà de la morne paysage de l'éducation au Mexique retrouvée par l'Académie mexicaine de la langue.

            Nous devrions connaître les résultats complets de l'examen pour voir si ce groupe respectable d'intellectuels a pris en compte dans son avis de manuels scolaires gratuits, l'arbre entier, y compris l'idée que l'apprentissage sont des processus dans lequel les élèves interagissent avec l'enseignant et les étudiants avec d'autres étudiants; ces processus comprennent les pratiques situées dans des contextes différents et dans des salles de classe et les bibliothèques dans les écoles, avec des livres de la littérature ainsi que la consultation, l'information, la diffusion de la science, parmi beaucoup d'autres. Il est également important de réduire la pauvreté dans laquelle il vit la plupart des enfants dans notre pays, le chômage ou la migration de nombreux parents d'élèves, l'insuffisance des infrastructures dans les écoles, et la corruption de l'union de distinguer la dômes magistrales maîtriser tous les jours, qui sont la grande majorité et construire l'éducation des enfants mexicains dans des conditions qui deviennent impossible. Cela impliquerait l'examen des politiques et des lignes d'enseignement à subir pays dits "développés par des organisations telles que l'OCDE et la Banque mondiale.

            Espérons que les esprits brillants des écrivains, des chercheurs et des vulgarisateurs de la science peuvent être appelés à faire des propositions avec les enseignants, les politiques éducatives globales visant à la formation de sujets capables de participer à la culture de l'écrit, de la politique et de la culture de l'environnement et de l'éducation pour trouver un moyen d'améliorer leur qualité de vie, dans toutes ses dimensions.

            Est insuffisante et inclusive que reconnu avant les résultats du test de gratuité des manuels scolaires, dans le contexte de la catastrophe éducative restreindre la solution pour faire de nouveaux livres. Des mesures devraient être considérables et impliquer les institutions spécialisées, mais aussi pour les enseignants.

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